top of page

 

"A Saint-Denis, le Théâtre Majâz plonge dans les archives du procès Eichmann pour questionner notre conscience contemporaine: obéissance versus résistance. Magistral."

 

Fabienne Arvers, Les inRockuptibles

 

" Le spectacle trouve son originalité dans sa dramaturgie à sept voix, qui fait ressortir l'intenable stratégie de défense de cet homme […]. "

 

Mathieu Perez Le Canard enchaîné

"Une vision radical du procès d'Eichmann (...) sans pathos mais non sans ironie."

 

Brigitte Salino, Le Monde

"Le miroir du bourreau est tendu vers le spectateur, pour questionner l’universalité du mal."

 

Vianney Delourme, Libération

"C’est qu’il n’y a probablement rien de plus absolument urgent que des tels spectacles. On pourra crier au retour de la barbarie tant que l’on voudra ; Eichmann à Jérusalem nous aura au moins montré que l’on peut entretenir un rapport construit, réfléchi, et pertinent à cette négation de l’humain qui plane perpétuellement au-dessus de nos têtes. Aujourd’hui plus que jamais."


Justin Winzenrieth, Le souffleur

"Le spectacle, porté par une troupe de comédiens et comédiennes formidables de justesse, est une leçon d’histoire salutaire à un moment où la mémoire s’effiloche trop souvent."

 

Benoît Lagarrigue, Le Journal de Saint-Denis

"Traiter sur scène du procès d’Eichmann qui s’est tenu à Jérusalem en 1961, voilà un défi théâtral considérable. Explications avec les concepteurs du projet, Lauren Houda Hussein et Ido Shaked. "

 

Propos recueillis par Eric Demey

"Après la Maison du peuple qui fut le théâtre du procès, le théâtre Gérard Philipe se transforme à son tour en tribunal pour une grande leçon d’Histoire mais surtout, un grand moment de théâtre."

 

Marianne Guernet-Mouton, Arkult

bottom of page